Contenu : Cette conférence montre la place que jouent les plantes au sein de notre imaginaire contemporain, en s’attachant notamment à l’étude des livres, films, séries, chansons et jeux vidéo de notre époque. Ainsi, en nous plongeant dans la culture de masse actuelle, nous nous interrogerons sur le rôle symbolique de certaines plantes emblématiques, sans oublier de l’expliciter en nous plongeant dans ses racines historiques. Nous nous intéresserons par exemple à la mythique mandragore, que l’on retrouve dans de nombreuses œuvres de fictions, depuis Harry Potter jusqu’au film du « Labyrinthe de Pan ». Nous nous interrogerons sur l’usage de l’amanite tue-loup dans plusieurs films fantastiques récents et nous demanderons d’où vient l’usage de l’ail contre les vampires, que l’on retrouve notamment dans le célèbre Dracula de Bram Stoker. Nous verrons aussi que l’usage de la ronce comme obstacle n’est pas propre aux jeux vidéo (Zelda, Donkey Kong…), mais est le fruit d’un symbolisme ancestral. Peut-être partirons-nous aussi en quête des roses légendaires, depuis celles qui bordent la Tour Sombre de Stephen King jusqu’à celle qui dépérit dans le conte de la Belle et la Bête. A travers de nombreux exemples, nous essayerons donc d’émettre des hypothèses sur le rôle symbolique joué par les plantes sauvages dans notre culture contemporaine, afin d’offrir aux participants un point de vue global sur le sujet. Enfin, l’intervention pourra se conclure par les perspectives ouvertes par ce travail, notamment en matière d’écologie, avant de permettre aux participants de poser des questions.

Lieu de la conférence : A déterminer conjointement. Dans l’idéal au sein d’une salle munie d’un rétroprojecteur.

Durée de la conférence : A déterminer conjointement. De 1h30 à 3h.

Âge du public : Adultes et adolescents.

Nombre de personnes : Variable.

Contenu : Cette conférence s’intéresse aux plantes liées à la sorcellerie, qu’elles aient été réellement employées lors de rituels anciens ou qu’elles aient fait l’objet de fantasmes se répercutant dans les œuvres de fictions. Ainsi, nous passerons en revue les espèces les plus emblématiques de la magie noire et de l’occultisme, depuis les fameuses belladones et digitales jusqu’aux daturas, sans oublier les pavots, les aconits et les mystérieuses mandragores. Nous évoquerons l’usage qui était fait de ces espèces végétales par les présumées sorcières, mais nous intéresserons aussi à leur caractère symbolique et imaginaire. Nous nous plongerons donc dans les vieux grimoires du Moyen Âge et les traités de démonologie, mais essayerons également de réfléchir à l’usage contemporain de cette image de la sorcière herboriste. Enfin, l’intervention pourra se conclure par les perspectives ouvertes par ce travail, notamment en matière d’écologie, avant de permettre aux participants de poser des questions sur les sujets abordés.

Lieu de la conférence : A déterminer conjointement. Dans l’idéal au sein d’une salle munie d’un rétroprojecteur.

Durée de la conférence : A déterminer conjointement. De 1h30 à 3h.

Âge du public : Adultes et adolescents. Nombre de personnes : Variable.

Contenu : Cette conférence développe la place jouée par les plantes sauvages au sein des mythologies européennes que sont la mythologie gréco-romaine, la mythologie celte et la mythologie scandinave. Ainsi, en nous plongeant dans les sources disponibles, comme les Eddas ou les récits homériques, nous essayerons de comprendre le rôle symbolique que jouaient certaines plantes dans l’imaginaire des hommes de l’époque. A travers des exemples concrets issus de contextes différents, nous essayerons de dresser des parallèles entre les grands ensembles culturels étudiés, sans pour autant omettre de souligner les potentielles différences. Ainsi, nous nous demanderons pourquoi les jeunes filles enlevées sont fréquemment représentées en train de cueillir des fleurs sauvages, en particulier des lys et des roses. Nous nous pencherons sur les plantes dites « druidiques », comme la Reine-des-près ou le Millerpertuis, utilisées dans le cadre des cérémonies du monde celte. Nous nous questionnerons sur la portée symbolique du gui, plante sacrée et magique par excellence, mais aussi responsable de la mort du dieu Baldr dans la mythologie germano-scandinave. Peut-être même nous intéresserons nous au cas de la sulfureuse belladone, dont le nom latin provient de l’une des trois Moires… Atropos, qui coupe le fil de la vie. A travers de nombreux récits anciens, nous essayerons donc d’émettre des hypothèses sur le rôle symbolique joué par les plantes sauvages dans les mythologies anciennes, afin d’offrir aux participants un point de vue global sur le sujet. Enfin, l’intervention pourra se conclure par les perspectives ouvertes par ce travail, notamment en matière d’écologie, avant de permettre aux participants de poser des questions.

Lieu de la conférence : A déterminer conjointement. Dans l’idéal au sein d’une salle munie d’un rétroprojecteur.

Durée de la conférence : A déterminer conjointement. De 1h30 à 3h.

Âge du public : Adultes et adolescents.

Nombre de personnes : Variable.

Contenu : Ce type de conférence aborde dans le détail le cas particulier d’une essence d’arbre ou d’arbuste : le chêne, le hêtre, l’aulne, le sapin, l’orme, le sureau, l’aubépine… Dans tous les cas, il s’agira de montrer la place singulière que joue cette espèce dans l’imaginaire de l’Homme, depuis les récits mythologiques de l’Antiquité et les légendes médiévales jusqu’à notre culture contemporaine (livres, films, séries…). Le symbolisme sera développé, à la lumière de nombreuses sources et de nombreux exemples, afin d’offrir aux participants un point de vue clair et précis sur les enjeux culturels de l’arbre en question. Comment s’illustre la dimension funéraire de l’if à travers les âges ? Pourquoi le chêne est-il depuis toujours symbole de pouvoir et de force ? En quoi le saule témoigne-t-il dans les sources d’une tristesse évidente, mais aussi d’une force vitale étonnante ? De quelle manière s’exprime le caractère féérique et merveilleux du hêtre ? Pourquoi l’aubépine est-elle si souvent associée à la Vierge Marie ? Comment la maladie des ormes a-t-elle été interprétée par la fiction ? Voilà autant de questions qui, par exemple, pourront être développés. L’intervention se conclura par les perspectives ouvertes par ce travail, notamment en matière d’écologie, puis par un temps d’échange avec les participants.

Quelques exemples de conférences :

*L’if : un arbre funéraire

*Le chêne : arbre de la royauté et des oracles

*Le hêtre : arbre des fées et des mondes cachés

*Le bouleau : arbre de renaissance et de purification

*Le tilleul : arbre du sommeil et de l’amour

*Le sureau : arbuste du foyer et de la sorcellerie

*Le sapin : arbre de la résilience hivernale et des espaces sauvages

Lieu de la conférence : A déterminer conjointement. Dans l’idéal au sein d’une salle munie d’un rétroprojecteur.

Durée de la conférence : A déterminer conjointement. De 1h30 à 3h.

Âge du public : Adultes et adolescents.

Nombre de personnes : Variable.

Contenu : Cette conférence s’intéresse à un sujet bien particulier : celui des arbres et arbustes légendaires, dont l’existence, bien qu’hypothétique, a fasciné et fascine toujours les hommes. En adoptant une démarche de recherche, nous passerons ainsi en revue certains de ces mystérieux végétaux, en nous plongeant aux origines des mythes et en nous interrogeant sur leur sens et leur symbolisme. Nous nous intéresserons par exemple à la figure énigmatique de l’Arbre Sec, décrite dans la Bible et peut-être évoquée par Alexandre le Grand. Nous nous interrogerons sur les arbres aux pommes d’or, comme ceux qui peuplaient le jardin des Hespérides, mais aussi sur l’Arbre de vie ou l’Arbre de la connaissance. Nous traverserons la Manche pour étudier le cas de l’aubépine miraculeuse de Glastonsbury qui, dit-on, fleurissait tous les ans à Noël. Nous nous pencherons encore sur le célèbre noyer de Bénévent où s’effectuaient des sabbats diaboliques, ainsi que sur d’autres arbres mentionnés dans les sources antiques comme Irminsul ou le Fusang chinois. Peut-être même nous mettrons-nous en quête du Peridexion, arbre divin attirant les colombes et repoussant les serpents, que décrivent les grimoires du Moyen Âge. A travers de nombreux exemples, nous essayerons donc d’émettre des hypothèses sur le rôle symbolique et culturel joué par ces arbres mystérieux, afin d’offrir aux participants un point de vue global sur le sujet. Enfin, l’intervention pourra se conclure par les perspectives ouvertes par ce travail, notamment en matière d’écologie, avant de permettre aux participants de poser des questions.

Lieu de la conférence : A déterminer conjointement. Dans l’idéal au sein d’une salle munie d’un rétroprojecteur.

Durée de la conférence : A déterminer conjointement. De 1h30 à 3h.

Âge du public : Adultes et adolescents.

Nombre de personnes : Variable.

Contenu : Cette conférence montre la place que continuent de jouer les arbres au sein de notre imaginaire contemporain, en s’attachant notamment à l’étude des livres, films, séries, chansons et jeux vidéo de notre époque. Ainsi, en nous plongeant dans la culture de masse actuelle, nous nous interrogerons sur le rôle symbolique des arbres et des arbustes, sans oublier de l’expliciter en nous plongeant dans ses racines historiques. Nous nous intéresserons par exemple à la mythique baguette de sureau de Harry Potter, au saule cogneur de Poudlard ou aux ifs peuplant le cimetière de Godrick’s hollow. Nous partirons à la rencontre des Ents du Seigneur des Anneaux, comme Vifsorbier ou Silvebarbe, et nous demanderons s’il est si incongru de trouver un buisson de ronce sur les contreforts de la Montagne du Destin. Nous nous pencherons sur le chêne d’où sort le cavalier de Sleepy Hollow, mais irons également danser sous le tilleul qui ombrage le bal du café du Canal de Pierre Perret. Peut-être même irons-nous parcourir le royaume d’Hyrule à la recherche des cerisiers en fleurs… A moins qu’on ne les trouve dans quelque manga japonais ? A travers de nombreux exemples récents, nous essayerons donc d’émettre des hypothèses sur le rôle symbolique joué par les arbres dans notre culture contemporaine, afin d’offrir aux participants un point de vue global sur le sujet. Enfin, l’intervention pourra se conclure par les perspectives ouvertes par ce travail, notamment en matière d’écologie, avant de permettre aux participants de poser des questions.

Lieu de la conférence : A déterminer conjointement. Dans l’idéal au sein d’une salle munie d’un rétroprojecteur.

Durée de la conférence : A déterminer conjointement. De 1h30 à 3h.

Âge du public : Adultes et adolescents.

Nombre de personnes : Variable.

Contenu : Cette conférence développe la place jouée par les arbres au sein de la représentation chrétienne, en s’intéressant notamment à la Bible et aux textes relatant la vie des Saints, dans l’Antiquité comme au Moyen Âge. Ainsi, en nous plongeant dans les sources de l’époque, nous découvrirons comment les auteurs chrétiens concevaient le rôle des arbres au niveau théologique, notamment en étudiant leur dimension symbolique. Par exemple, nous réfléchirons au rôle du chêne de Mambré, où Dieu apparaît pour la première fois à Abraham, ou encore aux nombreuses mentions de la ronce dans le Nouveau Testament. Nous nous intéresserons bien sûr à l’Arbre de la Connaissance, interprété postérieurement comme un pommier, et dont les premiers hommes mangent le fruit défendu. Nous verrons également comment le saule est utilisé par l’Ange de la repentance pour trier les âmes mortelles au sein du « Pasteur d’Hermas »…  A travers de nombreux récits anciens, nous essayerons donc d’émettre des hypothèses sur le rôle symbolique joué par les arbres dans la culture chrétienne, afin d’offrir aux participants un point de vue global sur le sujet. Enfin, l’intervention pourra se conclure par les perspectives ouvertes par ce travail, notamment en matière d’écologie, avant de permettre aux participants de poser des questions.

Lieu de la conférence : A déterminer conjointement. Dans l’idéal au sein d’une salle munie d’un rétroprojecteur.

Durée de la conférence : A déterminer conjointement. De 1h30 à 3h.

Âge du public : Adultes et adolescents.

Nombre de personnes : Variable.

Contenu : Cette conférence développe la place jouée par les arbres au sein de l’imaginaire médiéval, en s’intéressant notamment à la littérature et aux représentations iconographiques, mais aussi aux procès de sorcellerie. Ainsi, en nous plongeant dans les sources de l’époque, nous découvrirons comment les auteurs du Moyen Âge concevaient le rôle des arbres dans la formation et le fonctionnement du monde, mais aussi leur composante symbolique. Nous nous intéresserons par exemple au pin qui surplombe la fontaine de Barenton, en forêt de Brocéliande, ou encore à celui sous lequel mourut le chevalier Roland au col de Roncevaux. Nous nous pencherons aussi sur les arbres qui peuplent le verger merveilleux du « Roman de la Rose », ou encore sur le rôle des pommes et du célèbre noyer de Bénévent dans l’image de la sorcière. Nous nous demanderons pourquoi il est tant fait mention de jeunes filles endormies sous des tilleuls, ou encore de chêne sur lesquels les chevaliers accrochent leurs armes. Peut-être parcourrons-nous aussi l’enfer de Dante, où poussent des ifs parfaitement à leur place. A travers de nombreux récits anciens, nous essayerons donc d’émettre des hypothèses sur le rôle symbolique joué par les arbres dans la culture médiévale, afin d’offrir aux participants un point de vue global sur le sujet. Enfin, l’intervention pourra se conclure par les perspectives ouvertes par ce travail, notamment en matière d’écologie, avant de permettre aux participants de poser des questions.

Lieu de la conférence : A déterminer conjointement. Dans l’idéal au sein d’une salle munie d’un rétroprojecteur.

Durée de la conférence : A déterminer conjointement. De 1h30 à 3h.

Âge du public : Adultes et adolescents.

Nombre de personnes : Variable.

Contenu : Cette conférence développe la place jouée par les arbres au sein de la mythologie scandinave, en se concentrant particulièrement sur les textes des Eddas et des Sagas norroises. Ainsi, en nous plongeant dans les sources de l’époque, nous découvrirons comment les vikings concevaient le rôle des arbres dans la formation et le fonctionnement du monde, mais aussi leur composante symbolique. Evidemment, nous partirons à la rencontre du frêne Yggdrasil, l’Arbre-Monde, en nous questionnant sur la portée d’un tel symbole et ses enjeux. Nous nous intéresserons également, entre autres, au sorbier sauvant Thor de la noyade, ou encore aux pommes de l’éternelle jeunesse de la déesse Idunn. Peut-être aborderons-nous aussi le chêne de Branstock, où Odin plante une épée que seul le héros Sigmund parvient à extraire… A travers de nombreux récits anciens, nous essayerons surtout d’émettre des hypothèses sur le rôle symbolique joué par les arbres dans la culture des vikings, afin d’offrir aux participants un point de vue global sur le sujet. Enfin, l’intervention pourra se conclure par les perspectives ouvertes par ce travail, notamment en matière d’écologie, avant de permettre aux participants de poser des questions.

Lieu de la conférence : A déterminer conjointement. Dans l’idéal au sein d’une salle munie d’un rétroprojecteur.

Durée de la conférence : A déterminer conjointement. De 1h30 à 3h.

Âge du public : Adultes et adolescents.

Nombre de personnes : Variable.

Contenu : Cette conférence développe la place jouée par les arbres au sein de la mythologie celtique, en se concentrant particulièrement sur les textes gallois et irlandais mais en abordant aussi l’archéologie gauloise. En nous plongeant dans les sources de l’époque, nous découvrirons comment les anciens celtes concevaient le rôle des arbres dans la formation et le fonctionnement du monde, ainsi que leur composante symbolique. Par exemple, nous partirons à la rencontre des cinq arbres sacrés de l’Irlande et de Suibhne, un roi maudit vivant en ermite au sommet d’un if. Nous nous intéresserons également, entre autres, aux rôles du sorbier et du houx dans la magie des druides, ou encore partirons en quête d’Avalon, verger merveilleux où se réfugie le roi Arthur après sa dernière bataille. Peut-être même nous pencherons nous au-dessus de la source sacrée de Connla, où poussent les neufs noisetiers de la sagesse… A travers de nombreux récits anciens, nous essayerons surtout d’émettre des hypothèses sur le rôle symbolique joué par les arbres dans la culture de l’époque, afin d’offrir aux participants un point de vue global sur le sujet. Enfin, l’intervention pourra se conclure par les perspectives ouvertes par ce travail, notamment en matière d’écologie, avant de permettre aux participants de poser des questions.

Lieu de la conférence : A déterminer conjointement. Dans l’idéal au sein d’une salle munie d’un rétroprojecteur.

Durée de la conférence : A déterminer conjointement. De 1h30 à 3h.

Âge du public : Adultes et adolescents.

Nombre de personnes : Variable.